Phoenix Ward
Nombre de messages : 34 Identity Card : Date d'inscription : 25/11/2008
Dirty little details Degré de Luxure: (100/100) Relationships: Topics: Closed
| Sujet: PHOENIX WARD - kinda pushy uc. Mar 25 Nov - 21:53 | |
| IDENTITY CARDPour connaître l'essentiel LITTLE DETAILS On en veut toujours plus... Tu fais quelles études: Plutôt fêtard ou posé: Plutôt sportif ou intello: Sous ton lit, on trouve: Objet fétiche: La meilleure place en cours, c'est: Si t'étais un livre: Si t'étais une chanson: AND YOU ? Le joueur nous interesse aussi... Age: Raph' Avatar: Chace Crawford. Que pense tu du forum: Trop nul Le code du règlement: London is mine. Autre chose à dire?
Dernière édition par Phoenix Ward le Ven 28 Nov - 19:38, édité 4 fois | |
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Phoenix Ward
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| Sujet: Re: PHOENIX WARD - kinda pushy uc. Mar 25 Nov - 22:07 | |
| Histoire:
« Phoenix, touches pas à mes chats, j'te castre sinon. » « Phoenix, c'est toi qui as bu toute la vodka ? Qui était censé être sous mon lit ? » « Phoenix, merde, tu abuses avec ta musique à six heures du matin. » « Bordel de merde. Vous voulez pas arrêter de m'emmerder ? »
Columbine, Rembrandt, Billie. Trois noms qu'il connaît parfaitement. Trois noms, pour trois personnes qui font partie de sa famille. Deux sœurs, et un frère. Deux adoptifs, R&B mais qu'il ne considère pas comme tel. Ce sont tous ses frères & sœurs, et des vrais emmerdeurs en parallèle. Entre Columbine, qui a deux chats hideux régulièrement martyrisé par P, Billie qui lui faire manger de la chantilly par les oreilles, et Rembrandt qui l'étouffe avec son oreiller, et qui passe ses soirées à boire en racontant sa vie très ennuyante, Phoenix est servi niveau famille. Mais bordel, il les aime tous autant les uns que les autres. Eux & leurs gros défauts, sont touts pour lui.
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« J'veux un câlin. » « Mais merde, tu me fais chier. » « Quoi encore ? » « J'suis pas une machine à orgasmes. » « Ca, je le savais. » « Tu me cherches ? » « Pas du tout. » « Dégages. » « J'veux un câlin. » « PARFAIT. Je dégage alors. »
Phoenix et Pandore. Pandore et Phoenix. Tout le monde les croit totalement taré à s'embrasser et ensuite à s'envoyer chier. Mais généralement, ca ne finit jamais bien. Une claque, un coup dans le genou, une immobilisation pour empêcher les ongles d'entrer en collision avec le cou. Et puis un regard butée, un regard défieur. Et une nuit torride. En général, ils ne se font jamais de grands cadeaux. Dix minutes plus tard, Phoenix revient généralement. Il ne s'excuse jamais de ses paroles, il les assume. Il marche tranquillement, et manque de se prendre un livre dans la tête lorsqu'il rentre de nouveau dans sa chambre. Pandore se rapproche de lui, lui fout une baffe. Il immobilise ses mains, la plaque contre le mur et lui lance un regard noir. Il n'est pas violent avec les femmes, mais elle a le don de le mettre hors de lui. Pandore s'échappe de son emprise et soupire, alors qu'il se glisse derrière elle pour embrasser sa nuque. Tout ça ne dure que peu de temps à chaque fois.
« Lâches moi. » « Jamais. » « Tu me fais chier, salopard. » « Moi aussi, sale garce. » « Je peux avoir mon câlin ? » « Seulement si tu me fais un petit show privé. » « Pas de problème. »
Une particularité dans leur pseudo couple. Se chercher encore et encore, se titiller jusqu'à ce que l'autre ne soit en colère. Soit par la jalousie, soit par les mots blessants. Et la nuit suivante n'est que plus torride encore. Ils se réconcilient souvent par ce moyen agréable. Et Pandore adore faire des strip teases, autant que Phoenix aime les regarder. Et bordel de merde, il en est dingue. Et Monsieur la fierté, ne le lâche pas.
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« T'es même pas capable de manger avec une fourchette. » « Aha. Trsè drôle. T'as pas vu ta gueule. » « Tu me choques, ma petite Regan. » « J'suis pas petite. » « Ah ouais ? »
C'était le bon temps. Phoenix & Regan, de grands amis qui se côtoyaient chaque jour dans un petit café à Londres. Ils riaient pour rien, se taquinaient. Ils se souriaient naturellement, et jamais Phoenix ne s'était senti aussi bien dans une relation affective. Affection qui se transforma rapidement en un grand amour passionnel. A cet époque, il avait 18 ans.
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